Aviez-vous une fois pensé à la relation qui existe aujourd’hui entre parents et enfants? Aujourd’hui à l’heure ou la technologie touche son point et le paradigme devient de plus en plus quelque chose commode, cette relation change également de point de vue et surtout certaines valeurs. Pour ce faire, nous voulons tant soit peu essayer parler de cette relation entre les parents et leurs enfants, estimer à combien de pourcentage cela réussi aujourd’hui, et sur quelle condition cela est faisable. Pour vous faire du bien, veuillez consulter le casino en ligne afin de découvrir le multiple moyen de gagner votre gros lot.
Je me considère proche de mes parents. Je discute régulièrement avec mon père et ma mère, sur une base individuelle, que ce soit au téléphone ou par FaceTime. Nos conversations traitent généralement des événements de la semaine. Ils me demandent comment je vais et comment vont mes enfants. Mais il est très rare que nous ayons des conversations intimes à propos du sens de la vie, de nos expériences les plus significatives ou de nos perspectives d’avenir. Dans ce même ordre d’idée, je vous recommande de tenter votre chance sur casino en ligne.
La relation entre parents-enfants se construit tout au long de l’évolution et de la croissance des enfants. Cette relation se construit à partir du moment ou l’enfant se trouve encore dans le ventre de sa mère. Une fois que l’enfant est né cette relation se construit jour après jour en passant des moments de qualités quotidiennement avec lui. A chaque moment que vous bercer, embrasser, cajoler votre enfant, cela crée en lui ce lien et développe cet amour envers votre personne. A chaque étape que franchi l’enfant, vous devez lui donner une attention particulière, soit en le regardant jouer, en l’écoutant parler sans l’interrompre. Et si seulement vous tentiez votre chance en jouant sur casinofrance, je vous assure, vous gagnerez plus que ce que vous aviez prévu.
En accueillant l’enfant dans ce qu’il vit : ce n’est pas facile d’accueillir un enfant dans sa souffrance, cela nous met en contact avec la nôtre. Par exemple, l’enfant vient vous voir et dit: ”Papa, Bernadette n’est pas gentille, elle m’a enlevé mon épée” au lieu de lui dire, par exemple qu’il ne devrait pas pleurer, on peut lui dire que l’on comprend sa peine en le prenant dans nos bras. On peut lui demander aussi ce qu’il compte faire avec Bernadette et l’encourager dans le moyen qu’il aura choisi de prendre et l’aider dans sa réflexion.
Comment sauver cette relation?
En lui laissant de la place pour s’exprimer : Par exemple, l’enfant arrive et dit : Maman, Jérôme m’a frappé aujourd’hui à l’école. On pourrait être porté alors à lui dire quoi faire, comme d’aller voir un adulte, de riposter à Jérôme ou quelque chose du genre. Pour favoriser la relation avec lui, on peut choisir de demander à l’enfant ce que lui a fait, et lui demander ce qu’il pourrait faire d’autre aussi en le valorisant dans les moyens qui l’ont aidé. On peut le féliciter de nous en avoir parlé et l’encourager à le refaire s’il en ressent le besoin.
En équilibrant les limites qu’on lui impose et la confiance qu’on lui porte : cela signifie qu’on va le laisser se casser la gueule parfois. On peut choisir de ne pas lui dire ce qu’on pense de ces choix chaque fois qu’il ouvre la bouche et éviter les sermons. Pourquoi ne pas lui poser des questions ouvertes au lieu de lui donner chaque fois notre point de vue? Mon enfant de 11 ans me dit qu’il veut écouter son émission qui se termine tard et je trouve qu’il n’a pas assez dormi hier. Je peux alors avoir tendance à lui dire qu’il ne regardera pas la télévision si tard, qu’il est trop fatigué et qu’il doit se coucher tôt pour être en forme à l’école demain. C’est normal, on sait très bien qu’il sera fatigué! Cependant, avec un jeune de cet âge, on peut, par exemple, au lieu de l’empêcher systématiquement de faire ce qu’il veut, lui demander comment il rattrapera son sommeil, ce qu’il fera s’il est fatigué le lendemain, lui demander si lui juge que c’est une bonne idée de se coucher si tard, etc